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Nos préférences, nos différences selon CG Jung …

Voici les 4 grands types de personnalité selon CG Jung :

◾ les extravertis qui privilégient les critères objectifs
◾ ceux qui privilégient les critères subjectifs
◾ les introvertis qui privilégient les critères objectifs
◾ ceux qui privilégient les critères subjectifs

Jung n’avait pas associé les typologies aux couleurs, elles ont été intégrées depuis avec beaucoup de bonheur et pour une meilleure compréhension et reprises par plusieurs système d’évaluation tels DISC, Insights etc.

⚠ Attention, il n’est pas question de ranger les personnes dans des cases mais bien de définir des grandes lignes de fonctionnement, d’apprentissage etc. qui permettent de comprendre que l’autre est différent, et qu’il ne nous appartient pas de juger mais plutôt de s’adapter.

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Petit rappel avant de se fixer un objectif.

SMART est un acronyme utilisé dans la gestion de projet et la planification stratégique.

La méthode est également très utile pour des projets personnels, de la même manière qu’elle l’est pour l’entreprise.

Elle aide à définir – et à atteindre – un objectif de manière plus efficace en décrivant ses caractéristiques-clés de façon bien formulée :

◾ Spécifique (ou la clarté de l’objectif) :
L’objectif doit être clairement défini et précis. Il doit répondre aux questions “quoi” “qui” “où” et “pourquoi”. en évitant les termes vagues et généralisés. Il s’agit ici de savoir exactement ce que l’on veut réaliser. S’il l’objectif possède un ET c’est qu’il y a en réalité deux objectifs : il ne sera donc pas spécifique (dans ce cas séparer en deux objectifs).

◾ Mesurable (ou le suivi de la progression) :
L’objectif doit comporter des critères objectifs avec des quantités, des unités de mesure (Kg, Km …) aidant à en évaluer la réussite et à apporter des ajustements si nécessaire.

◾ Atteignable (ou le réalisme des objectifs) :
L’objectif doit être ambitieux mais réaliste et réalisable avec les ressources, le temps et les compétences disponibles. en évaluant les contraintes et les obstacles potentiels.

◾ Réaliste (ou la pertinence et l’alignement) :
L’objectif doit être aligné par rapport aux valeurs et aux priorités rester écologique ainsi qu’aligné avec les objectifs plus larges. Il doit avoir une signification pour toutes les parties concernées.

◾ Temporellement défini (ou un échéancier clair) :
L’objectif doit avoir une échéance clairement définie, une date spécifique limite de temps qui aide à rester concentré, qui favorise la responsabilité et la gestion plus efficace du temps.

Un objectif S.M.A.R.T commence par un verbe d’action à l’infinitif !

Exemple : Perdre 5 kg d’ici le 31 décembre de cette année. Clôturer le budget annuel avant la fin de la semaine.

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Chassez l’excellence* !

Ou quand Ben Bergeron intervient sur la préparation physique et mentale de ses athlètes d’élite en s’attachant surtout sur le côté humain de la personne et sa psychologie.

Pour tous nos projets, même les objectifs personnels comme perdre du poids, réussir un examen ….

Pour lui, ce qui fait réellement la différence., c’est travailler sur les deux derniers étages de la pyramide.
Des évidences, beaucoup d’évidences : arrêter de perdre du temps avec les plaisirs immédiats mais peu apporteurs de valeur ajoutée, comme la télé ou scroller sur Insta, et aller plutôt travailler notre objectif, notre projet. C’est la force du mindset.

Et arrêter de se focaliser sur ce qu’on ne peut pas changer : la force de l’adversaire, le temps qu’il va faire … pour tout miser sur sa zone d’influence, plus précisément sur ce qu’on peut améliorer comme son hygiène de vie …

Le livre est extraordinaire et vaut vraiment le détour, il est en anglais mais un anglais très simple.

* Ben Bergeron “chasing excellence” – https://benbergeron.com/coaching/

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La pyramide de Dilts : prendre de la hauteur…

“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l’a créé.” disait Albert Einstein.

Cet outil puissant permet de classer les techniques de changement en fonction du niveau auquel elles interviennent : en gros, face à un problème, il est nécessaire de remonter au niveau précédent pour le reprogrammer … et le régler.
Cette pyramide est utilisée pour nous aider, entre autres, à résoudre les problèmes, à aligner un projet, à le mettre en cohérence, à trouver du sens …

◾ Environnement : c’est le contexte où la personne évolue,
◾ Comportement : les actions, réalisées ou non,
◾ Compétences : les capacités et l’organisation,
◾ Valeurs : croyances et valeurs,
◾ Identité : identité et mission du sujet,
◾ Sens : c’est le niveau d’appartenance qui répond à la question : “Quel est le monde auquel je me sens appartenir ?”.

* auteur, formateur et consultant, il est entre autres un des principaux chercheurs et développeurs de la programmation neuro-linguistique (PNL)

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L’escalier de la communication

Souvent associée à Konrad Lorenz* et à ses réflexions sur la communication, et bien que la paternité exacte ne lui soit pas toujours attribuée, la chaîne de Lorenz souligne la complexité du processus de communication et les défis auxquels nous sommes tous confrontés pour transmettre efficacement nos pensées, nos idées et nos émotions aux autres.

Avoir conscience de ces étapes peut nous aider à améliorer notre communication en identifiant les points faibles potentiels et en travaillant à les surmonter.

◾ La pensée n’est pas dite : parfois, on peut avoir des pensées, des idées ou des émotions que nous ne verbalisons pas, et ça peut entraîner un manque de compréhension mutuelle.

◾ Dire n’est pas entendre (ou écrire n’est pas voir) : même si on exprime ses pensées, il y a des moments où le message n’est pas correctement entendu, compris ou vu par l’autre personne. Ca peut être dû à des barrières de communication telles que le langage, la culture, les préjugés …

◾ Entendu n’est pas compris : même si notre message est entendu, il peut quand même ne pas être compris correctement par l’autre personne. Du coup, il peut y avoir confusion ou interprétation.

◾ Compris n’est pas accepté : même si le message est compris, rien ne va garantir que l’autre l’acceptera ou l’approuvera. Des divergences d’opinions ou de valeurs par exemple peuvent entraver l’acceptation du message.

◾ Accepté n’est pas fait : même si le message est accepté, ça ne signifie pas nécessairement que l’autre personne agira en conséquence. Il peut y avoir des obstacles pratiques ou émotionnels qui empêchent la mise en œuvre des idées ou des actions proposées.

◾ Fait n’est pas conservé : même si une action est entreprise, elle peut ne pas être maintenue dans le temps. Des facteurs comme la motivation, certaines contraintes ou des changements de circonstances peuvent influencer la persistance de l’action dans le futur.

* Konrad Lorenz, éthologue autrichien, pionnier dans l’étude du comportement animal et de l’éthologie.

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on déstresse et on positive !

Le swich vous le connaissez déjà .. c’est quand, pour vous motiver, au lieu de (vous) dire ” je suis nul, je n’ai pas assez bossé “, vous positivez et vous vous dites à la place ” c’est bien ce que j’ai déjà fait, c’est un bon début “.

Le swich est là pour se libérer des sensations et des comportements négatifs, limitants, et pour prendre de la distance avec la situation qui pose problème …

C’est une méthode issue de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) et très utilisée chez les sportifs au même titre que l’ancrage et la visualisation auxquelles elle s’apparente.

Vous pouvez changer d’état émotionnel pour être dans une bonne émotion ressource tout comme vous pouvez zapper d’une chaîne télé qui diffuse un programme ennuyeux sur une autre qui diffuse une émission motivante et agréable.

Ainsi à partir d’une situation qui déclenche des comportements négatifs et limitants vous allez pouvoir générer des comportements positifs, motivants, valorisants.

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Etre en désaccord sans manquer de respect.

◾ Être en désaccord signifie avoir des opinions, des croyances ou des points de vue différents sur un sujet donné.
Cela fait partie intégrante de la diversité.
Des discussions constructives et respectueuses peuvent en découler. Il est possible d’échanger des points de vue, de présenter des arguments … sans nécessairement manquer de respect à l’autre.

◾ Le manque de respect implique un comportement offensant ou insultant : paroles ou actions qui dévalorisent, ridiculisent, humilient ou discriminent.
Intentionnel ou non, le manque de respect viole les normes sociales de décence et de considération envers l’autre et peut causer des blessures.

Bien sûr, manquer de respect peut se produire lors de désaccords, mais il est vraiment important de séparer les différences d’opinion des comportements irrespectueux.

⚠ Rappel : quand on doit faire un reproche à quelqu’un, il ne faut surtout pas confondre son comportement avec son identité.

Par exemple, si quelqu’un agit de façon stupide, la critique ne sera pas “tu es stupide”, mais “tu as agi de façon stupide”.
Outre le fait d’être plus juste, ça permet de réduire l’impact émotionnel de la critique afin qu’elle soit mieux acceptée.
En gros, il faut faire la différence entre juger la personne et évaluer son comportement ou son action à un moment donné.

* illustration d’après neuronvisuals

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Pause, ou fait un point sur soi … et c’est ludique !

Parce que les formes ont un fort impact dans nos esprits et que leur signification est quasiment universelle à travers le temps et l’espace, voici un petit moment ludique pour mieux se connaître et identifier ses besoins.

On ne sait pas vraiment si on doit l’attribuer à Koishiri Akitano ou à Angeles Arrien, quoi qu’il en soit jouez avec nous et, sans trop y réfléchir, classez les figures dans l’ordre de vos préférences, spontanément.

Enjoy !

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la dévalorisation de soi

Un biais cognitif est une erreur de raisonnement, un schéma de pensée faussement cohérent piloté par nos émotions.

Quand nous sommes dans l’obligation de faire face à un choix, un problème nous faisons des raccourcis cognitifs (biais) pour simplifier les choses.

Le syndrome de l’imposteur on en entend beaucoup parler. En gros c’est quand on est incapable de s’attribuer pleinement ses réussites, qu’on tombe dans les pensées dévalorisantes, le jugement de soi et l’anxiété … et le sentiment d’imposture.

Si on vous félicite quand vous réussissez, que répondez-vous ?
réponse a : Non, bof franchement, c’est très moyen, vous avez vu ce qu’arrivent à faire les autres
réponse b : Merci beaucoup 🙂

Si vous êtes embauché pour un super poste dans la super entreprise qui vous fait rêver, que pensez-vous ?
réponse a : Holàlà, le coup de bol, ils ont dû surestimer mes compétences c’est pas possible, j’espère que je ne vais pas décevoir
réponse b : Trop content 🙂

Si vous venez de trouver la solution à un problème, que vous-dites vous ?
réponse a : Non mais il n’y a rien d’exceptionnel à résoudre ça, c’est tellement facile, tout le monde aurait pu le faire
réponse b : Cool 🙂

Vous aurez bien sûr compris que les réponses a sont typiquement celles d’une personne victime du syndrome de l’imposteur.

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L’autonomie n’est jamais un état acquis, mais un processus complexe, ambigu et toujours en devenir” Vincent Lenhardt*

Cet outil**, issu de l’analyse transactionnelle, décrit une autonomie qui n’est pas abordée comme un état statique, mais comme une dynamique, un processus d’évolution.
Il détaille les 4 stades de développement et de croissance par lesquels va passer une personne dans sa relation avec l’autre.

Ce processus de croissance, Katherine Symor*** l’a appelé “le cycle de la dépendance”.

L’autonomie individuelle :

◾ dépendance : la situation de l’enfant qui est totalement dépendant de ses parents pour survivre
◾ contre-dépendance : début d’autonomie, l’opposition de l’adolescent en révolte
◾ indépendance : généralement à l’entrée dans l’âge adulte, c’est le temps des expériences et des erreurs
◾ autonomie ou interdépendance : faculté de prendre la responsabilité de ses décisions, et de résoudre seul ses difficultés personnelles.

dans l’organisation :

◾ dépendance : premiers jours du collaborateur
◾ contre-dépendance : la personne s’oppose ou prend tout à contre-pied car elle a besoin de trouver sa place
◾ indépendance : le collaborateur éprouve le besoin de montrer, aux autres comme à lui-même, qu’il y arrive tout seul. À ce stade, il coopère le moins possible
◾ autonomie ou interdépendance : le collaborateur fait preuve de compétence, d’indépendance tout en étant coopératif.

⚠ Le cycle de la dépendance fait le lien avec les positions de vie et l’enclos OK de Franklin Ernst que l’on retrouve en Analyse Transactionnelle.

* Les Responsables porteurs de Sens
** créé par Katherine Symor puis adapté au coaching et au management par Vincent Lenhardt.
*** Les classiques de l’Analyse Transactionnelle 3

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Ce que je veux …

Aussi bien pour atteindre un objectif personnel (projet immobilier, perte de poids …) que professionnel (évolution, reconversion …), voici une stratégie très efficace pour atteindre n’importe quel objectif.

Répondez aux trois questions du carrousel en prenant bien soin de :
▪ formuler positivement votre question d’objectif, on élimine les “je ne veux pas de ….”
▪ trouver un objectif qui est en son pouvoir personnel dans le sens qu’il ne doit pas dépendre de l’aval d’une autre personne
▪ définir un objectif réaliste, mesurable atteignable et vérifiable ( revoir l’objectif SMART si besoin)
▪ … et que cet objectif soit contextuel …. par exemple avec un descriptif en situation donnée (où, quand, comment, avec qui ?)

et surtout visualisez-le, projetez-le dans votre futur !

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Pourquoi toujours tout remettre au lendemain ?

On est d’accord que dès lors qu’il s’agit d’une activité hyper plaisante ou gratifiante, personne ne rencontre vraiment de souci de procrastination. Alors pourquoi ce comportement d’évitement envers certaines actions à réaliser qu’on remplace trop facilement par des occupations secondaires et bien moins urgentes ?

Anxiété et manque d’intérêt immédiat sur la tâche seraient nos principales émotions de la procrastination. La procrastination serait du coup rarement causée par une mauvaise organisation, mais plus pour des raisons d’ordre émotionnel. Souvent :

◾ si vous retardez un travail important, c’est parce qu’il cause de l’anxiété : la tâche est complexe ou floue, l’objectif à atteindre n’est pas clair ou bien vous ne savez pas par où commencer. Vous redoutez peut-être les conséquences qui vont en découler.

◾ si vous retardez un travail plus secondaire, c’est qu’il n’est pas gratifiant dans l’instant. La tâche vous semble dénuée d’attrait. Elle vous ennuie. Vous n’en retirez aucune fierté, aucune valorisation …

Quoi qu’il en soit, chaque fois que nous reportons une tâche, ça pèse sur notre moral.

Tiré de la “boîte à outils de l’Efficacité professionnelle” (Dunod, 2e édition) de Pascale Bélorgey.

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Si nous passons à peu près 60% de notre temps de communication à l’écoute, nous retenons seulement 25 % de ce que nous entendons*.
Et pourtant une écoute de qualité est une compétence clé pour l’efficacité dans nos échanges.

Qui n’a pas eu déjà ce sentiment inconfortable de parler dans le vide ?

Le besoin de l’autre n’est pas que son discours soit interprété, mais compris. Améliorer notre écoute est un travail plus qu’utile qui va développer cette fameuse relation gagnant-gagnant.

La véritable écoute est une discipline au sens premier du terme : en s’y exerçant on peut se perfectionner.

Et quand l’autre se sent respecté, s’exprime et peut approfondir sa pensée sans craindre le jugement, tout est gagné.

Pour devenir maître dans l’art de la communication, Thomas Zweifel** nous a ces détaillé 7 niveaux d’écoute.

* Julian Treasure dans “ 5 manières de mieux écouter”
** Thomas D. Zweifel Communiquer ou mourir

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arrêter de remettre à toujours plus tard …

D’après Henri Laborit*, c’est un comportement humain tout ce qu’il y a de plus normal;
selon lui, l’homme a un penchant naturel à :
◾ faire ce qui est rapide avant ce qui va lui prendre du temps,
◾ faire ce qui est facile ou connu pour lui avant ce qui est difficile ou inconnu,
◾ faire ce qui lui fait plaisir avant ce qui est fastidieux.

Modéliser une méthode, en alternant les tâches rébarbatives / longues / fastidieuses … en gros pas sexy et les tâches agréables /gratifiantes .. en récompense, un peu comme un dédommagement … et en faire une sorte d’automatisme nous rend plus efficace.

* Henri Laborit (1914-1995) était un médecin chirurgien, neurobiologiste et éthologue. Il est le créateur du concept qui porte son nom. Il est également le grand père de l’actrice Emmanuelle Laborit.

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Développer la compréhension de soir …

La fenêtre de Johari est un modèle de communication et de compréhension des relations interpersonnelles créé par les psychologues Joseph Luft et Harry Ingham.

Ce modèle vise à expliquer comment l’information est partagée entre les individus dans un groupe ou une relation, et comment cela affecte la communication et la perception de soi et des autres.

Pour développer ses habiletés personnelles et mieux comprendre les interactions, il est utile de distinguer quatre dimensions qui représentent différentes zones de connaissance ou de perception :

◾ Zone ouverte (ouverture publique) : zone qui contient des informations sur nous-même que nous partageons volontairement avec les autres (état civil, profession, opinions, sentiments, expériences …) Plus cette zone est grande, plus on est ouvert et transparent dans sa communication.

◾ Zone aveugle : zone ou il y a peu ou pas de connaissance de soi-même, mais les autres peuvent avoir une perception de nous et de notre comportement (timbre de voix, non verbal …) La rétroaction des autres est importante pour élargir cette zone aveugle.

◾ Zone cachée (secrète) : qui contient des informations que nous choisissons de garder secrètes. Cela peut inclure des émotions profondes, des expériences traumatisantes, ou des pensées intimes. Une communication ouverte peut réduire cette zone en la faisant passer dans la zone ouverte.

◾ Zone inconnue : qui représente les aspects de nous-même et de notre expérience qui ne sont ni connus de nous ni des autres. Ces éléments peuvent émerger avec le temps grâce à la découverte personnelle ou à des événements imprévus.

La zone inconnue correspond à notre marge de progression, un espace qui permet de révéler des compétences, et des ressources inexploitées, des occasions nouvelles de formation, d’apprentissage et de progression.

Pour cela :

◾ plus on parle aux autres, plus on partage d’informations sur nous-même, plus ils en sauront à notre sujet (oui, il faut s’exposer !) plus on reçoit de commentaires constructifs, et plus notre compréhension de nous-même et de nos relations interpersonnelles s’améliorera (c’est le feedback, la rétroaction qui enrichit).

⚠ Pour explorer sa zone de développement personnel, il est important d’arriver à surmonter ses craintes et ne pas perdre trop d’énergie à se protéger.

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La plus coûteuse des dépenses est la perte de temps*

Smartphones, emails H24, télétravail, open spaces … il suffit de regarder la vie autour de soi : nous sommes sans arrêt sollicités et nous zappons notre vie.

En moyenne, un cadre est coupé toutes les 12 minutes dans son travail. Comment dans ce cas arriver à se concentrer et à s’immerger, voire atteindre l’état de flow ?

Oui mais voilà, s’il est préférable de limiter le plus possible les sollicitations chronophages, c’est tout sauf évident.

Alors si déjà on dégageait le très valorisé multitasking, celui que notre société occidentale associe à la productivité : en réalité se concentrer sur une seule chose à la fois permet d’être plus productif, moins stressé et d’avoir plus d’énergie.

Ce n’est pas pour autant qu’il faut travailler sans pause, du matin au soir.

⚠ Contrairement aux interruptions, non voulues, des pauses volontaires sont indispensables pour se ressourcer.

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L’axe de la personnalité …

Introversion et extraversion sont deux termes utilisés pour décrire les différentes préférences des individus en matière de comportement social et d’interaction avec autrui.

Bien qu’il existe un large spectre entre les deux, les personnes introverties et extraverties se distinguent généralement par leurs traits dominants.

L’introverti est souvent plus attiré par la réflexion intérieure, des activités calmes et solitaires. Il puise son énergie en se retirant dans son monde intérieur. Il a tendance à se sentir épuisé après des périodes d’interaction sociale intense et a souvent besoin de temps seul pour se ressourcer.

L’extraverti recherche l’interaction sociale et va être énergisé par la compagnie des autres. Il se sent souvent stimulé et revitalisé lorsqu’il est entouré, et a tendance à s’épanouir dans des environnements sociaux. Il est souvent plus verbal dans ses interactions, et peut chercher activement des situations sociales pour satisfaire son besoin de connexion humaine.

Introversion et extraversion ne sont pas des catégories rigides et les personnes se situant entre les deux peuvent adopter des comportements introvertis ou extravertis selon les circonstances et leur niveau de confort.

⚠ Attention, il ne doit ressortir de ces informations aucun jugement. Il n’est pas question de ranger les personnes dans des cases mais bien de définir des grandes lignes de fonctionnement, d’apprentissage etc. qui permettent de comprendre que l’autre est différent, et qu’il ne nous appartient pas de juger mais plutôt de s’adapter.
Ces traits de personnalité ont leurs propres forces et défis, et ils peuvent tous deux contribuer de manière significative à la société et aux relations interpersonnelles. L’important est de comprendre et de respecter les préférences des autres, tout en prenant soin de répondre à nos propres besoins en matière de socialisation et de temps personnel.

Avertissement 2 :
L’étude des types de personnalités est schématique. Comme tout schéma il faudra faire des distinguos et ne pas rester figé.

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Acceptation.

◾ La résistance se réfère à l’opposition, à la réticence ou au refus de reconnaître ou d’adopter quelque chose.
Ca peut inclure une réaction émotionnelle ou mentale de refus face à une idée, une situation, une personne ou une réalité qui ne correspond pas à nos préférences, à nos croyances ou à nos attentes.

Elle peut être la conséquence de la peur, de l’insécurité, du désaccord ou de l’incapacité à se conformer à ce qui est présenté. Elle peut créer des tensions, des conflits internes et une difficulté à faire face efficacement aux défis de la vie.

Lorsque nous résistons, nous appliquons un jugement : “ça ne devrait pas arriver”, “c’est mauvais”, “je ne devrais pas ressentir ça”…. Plus il y a résistance plus ce jugement sera fort, puissant et difficile à lâcher.

Résister nous revient toujours. Il n’y a aucune échappatoire sauf l’acceptation.

◾ L’acceptation c’est reconnaître, consentir ou prendre favorablement quelque chose (ou quelqu’un) tel qu’il est, sans résistance, sans jugement ou opposition.

Cela peut impliquer d’accepter une idée, une situation, une personne … voire soi-même, malgré les imperfections, les différences ou des caractéristiques qui pourraient être perçues comme négatives.

Lorsque nous acceptons, nous laissons l’expérience suivre son cours. Nous nous ouvrons à une vision plus large au-delà du défi immédiat.

L’acceptation de ce qui est est une pratique des plus difficiles – mais aussi qui peut améliorer le plus notre vie, contribuant ainsi à la paix intérieure et à la croissance personnelle.

* d’après newhappyco

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Croissance et autonomie

L’autonomie n’est jamais un état acquis, mais un processus complexe, ambigu et toujours en devenir” Vincent Lenhardt*

Autant dans le domaine personnel que professionnel (mais aussi social, familial ..), on passe tous par différentes phases, incontournables, avant d’accéder à l’autonomie.
Ce processus de croissance, Katherine Symor** l’a appelé “le cycle de la dépendance”.

Identifier ces phases permet de comprendre les quatre étapes, qui se déroulent selon un “processus cyclique” se déroulant en spirale. Car à chaque fois qu’une étape est franchie, les cycles suivants se déroulent de plus en plus rapidement.
Ainsi un premier cycle peut prendre plusieurs années, alors que les cycles suivants seront franchis en quelques jours… voire quelques minutes !
En d’autres termes, quand on est confronté à un problème nouveau, on fait de nouveau l’expérience de la dépendance mais avec des cycles bien plus rapides.

Adaptée au monde du travail, et dès que se pose la question de la délégation, de la hiérarchie, du travail en équipe …, la connaissance des différentes phases du cycle permet de mieux accompagner le collaborateur dans son autonomie.

* Les Responsables porteurs de Sens
** Les classiques de l’Analyse Transactionnelle 3

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collectif-ebconsult

Oui, le collectif commence par l’individu, ce qui peut sembler paradoxal et contre-intuitif.

Développer le travail collaboratif, c’est :

◾ prendre d’abord soin des collaborateurs au niveau individuel,

◾ veiller à une haute valeur de collaboration et les mettre sur une même longueur d’onde (résonance) car la fonction d’un collaborateur est de collaborer !

◾ assurer la sécurité psychologie pour donner à l’équipe la possibilité d’utiliser les synergies et de sortir du conformisme du groupe, celui qui voit trop souvent la diversité comme une perte d’efficacité.

La qualité du résultat fourni par l’équipe sera fonction du soin qui aura été apporté aux individus dans leurs interactions : leur permettre de s’exprimer avec confiance, seul gage d’interactions de qualité.

Il est évident (et c’est là toute la richesse) que des désaccords vont surgir entre les individus.
Il faudra éviter à tout prix le consensus – négociation (1+1=1) en utilisant la bienveillance sans complaisance.

Les différents egos vont vouloir imposer leur vision et on se retrouvera face à des oppositions, des désaccords.
Dès lors, il est indispensable d’installer des discussions, afin d’unir les points de vue et de confronter les idées et concepts qui sont les plus pertinents … qui font sens.
L’objectif étant de respecter les avis de chacun ainsi que les individus en tant que tels, en tant que composants du groupe … et de mettre les egos au service du collectif et non d’un individu.

Après, et seulement après, le groupe deviendra une force collective et pourra avancer vers un but commun qui permet de créer l’émergence (1+1>3)

⚠ Et pour conclure, ne pas oublier de revenir sur l’individu … etc.. par itérations.

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Modèle puissant développé par Simon Sinek, le cercle d’or explique comment générer l’engagement collectif et inspirer l’action en se concentrant sur 3 questions-étapes fondamentales. Ces questions sont représentées sous la forme de trois cercles concentriques, chacun représentant un aspect différent de la communication et de la stratégie d’une organisation. Dans l’ordre :

◾ 1 – Pourquoi (Why). C’est la première question, la vision, le cœur du cercle d’or. Le “Pourquoi” représente la raison profonde de l’existence d’une organisation, sa mission ou sa conviction. Il va bien au-delà de la simple réalisation de bénéfices financiers. Le “Pourquoi” est la source d’inspiration, la motivation qui guide toutes les actions et décisions.
Il répond à la question : Pourquoi faisons-nous ce que nous faisons ?

◾ 2 – Comment (How). Après le “Pourquoi”, le “Comment” explique comment une organisation accomplit sa mission ou réalise sa vision. Le “Comment” concerne les processus, les méthodes, les valeurs et les principes qui guident les actions.
Il répond à la question : Comment mettons-nous en œuvre notre vision ?

◾ 3 – Quoi (What). Troisième cercle et le plus externe, le “Quoi” décrit ce que l’organisation produit ou offre. Il s’agit des produits, des services ou des activités spécifiques proposés au public.
Le “Quoi” répond à la question : Qu’est-ce que nous faisons ?

L’innovation se produit lorsque les trois éléments s’alignent et sont atteints.

Sinek affirme que la plupart des organisations commencent par communiquer le “Quoi” (ce qu’elles font) et le “Comment” (comment elles le font), mais peu d’entre elles articulent clairement leur “Pourquoi” (pourquoi elles le font). Il soutient que les leaders et les organisations les plus influents et inspirants sont ceux qui inversent ce processus en commençant par expliquer leur “Pourquoi”.

Cela les aide à créer une connexion émotionnelle, à inspirer et générer une plus grande fidélisation.

Le modèle du cercle d’or a été largement adopté dans le domaine du leadership et du marketing comme un moyen de mieux communiquer et de créer une vision plus puissante pour les individus et les organisations.

* conférencier et consultant en leadership, auteur de livres sur le management et la motivation dont le très connu “Commencer par le pourquoi”

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S’affirmer …

Si le manque de confiance en soi est un obstacle à une vie épanouie,
avant de travailler pour la développer il est déjà important de comprendre ce qui bloque.

Il y a souvent confusion entre confiance en soi, estime de soi, et affirmation de soi, même
s’ils sont très étroitement liés et qu’ils se combinent fréquemment.

N’hésitez pas à aller faire un tour du côté des travaux de Frédéric Fanget,
ses livres sont faciles à comprendre et très agréables à lire.

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Pour mettre son énergie au bon endroit, et uniquement au bon endroit, pour éviter de perdre du temps et de l’efficacité à tenter de changer ce qui ne peut pas être changé,
Stephen Covey* a synthétisé ce schéma pour nous aider à comprendre à quel moment, et sur quelles actions il est utile de focaliser son énergie.

Il distingue trois zones :

◾ la zone de contrôle : ce que nous contrôlons déjà parfaitement, au centre
◾ la zone d’influence : ce sur quoi nous avons de l’influence et le pouvoir pour agir, au milieu
◾ la zone de préoccupation : ce que nous ne pouvons strictement pas changer, à l’extérieur.

Ne vous occupez pas de votre zone de préoccupation, elle vous emmène dans une spirale négative, celle de la passivité.
Plus vous lui donnerez d’importance et plus vous subirez les contraintes de l’environnement.

Votre zone d’influence seule est celle sur laquelle vous allez consacrer du temps et des efforts.
C’est celle de l’action, une spirale positive et vertueuse accompagnée de pensées positives.
Le fait de s’impliquer et d’agir sur les choses sur lesquelles nous pouvons avoir de l’influence optimise notre énergie et rend nos actions plus efficaces et plus motivantes.

Plus vos zones d’influence et de contrôle sont importantes, plus vous développez et maîtrisez votre croissance.

* Auteur et conférencier américain, professeur à l’école de commerce Jon M. Huntsman de l’université d’État de l’Utah auteur du livre ‘Les 7 habitudes des gens efficaces’

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quand le stress peut devenir état ressource.

Le stress est cet ensemble de signaux que nous percevons et qui nous indiquent que quelque chose ne va pas, qu’il y a peut-être un danger. C’est une information salutaire.

Pour autant, quand il est trop présent, trop fort et/ou trop long, il épuise et devient un mauvais conseiller.

C’est Robert Dilts* (à qui l’on doit entre autres le modèle des niveaux logiques**) qui propose ces 2 acronymes représentant 2 états : CRASH et COACH.

L’état CRASH fait référence à un stress improductif, néfaste et énergivore,

L’état COACH à un état positif et serein, propice à une posture ressource.

L’objectif étant de repérer un état CRASH pour l’amener tranquillement à un état COACH.

* Auteur, formateur et consultant américain travaillant au développement de la Programmation Neurolinguistique (PNL) qui théorise le modèle des “niveaux logiques”, également appelé “Pyramide de Dilts”.
** le wébinaire de demain jeudi 13 abordera entre autres l’utilisation des niveaux logiques de Dilts

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Tout n’est pas à jeter !

La STAR* … ou quand un outil nous permet de tirer des leçons d’une expérience et de s’améliorer.

La matrice star est une méthode qu’il est intéressant d’utiliser après chaque expérience.
Il suffit de répondre à 5 questions :
◾ ce qu’il faut supprimer, pour avoir de l’espace et ne pas en arriver à faire des usines à gaz,
◾ ce qu’il faut garder, car dans tout il y a de bonnes choses à garder,
◾ ce qu’il faut faire plus, c’était bien mais ça demande plus de temps (de détails, d(investissement …)
◾ ce qu’il faut faire moins, par exemple au lieu de supprimer complètement, juste diminuer
◾ ce qu’il faut incorporer, créer, mettre en place : c’est souvent la question qui vient tout de suite à l’esprit et qui occulte les précédentes étapes, pour cela qu’il est préférable de répondre à cette question en dernier.

* ne pas confondre avec l’acronyme Situation – Tâche – Action – Résultat

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7 étapes pour se libérer des liens d’attachement, conscients ou inconscients, pour sortir de situations bloquantes, des dépendances qui entravent nos relations avec les autres …

Approche de résolution de conflits et de communication qui nous aide à mieux comprendre et gérer nos émotions, nos relations interpersonnelles et nos conflits, voici la simplissime mais très efficace technique des bonhommes allumettes développée par Jacques Martel*.

◾ 1 – je me dessine, j’inscris mon nom et mon prénom,

◾ 2 – je dessine l’autre, j’inscris ses nom et prénom(s). On peut vouloir se détacher d’une situation ; dans ce cas faire un rectangle et y inscrire la situation,

◾ 3 – je dessine un cercle de lumière autour de moi, je veux ce qu’il y a de mieux pour moi,

◾ 4 – je dessine un cercle de lumière autour de l’autre (ou la situation), je veux ce qu’il y a de mieux pour l’autre,

◾ 5 – je dessine un cercle de lumière qui entoure les deux personnes/situation, je veux ce qu’il y a de mieux pour tous.

détachement :

◾ 6 – je dessine les lignes d’attachement conscient ou inconscient en reliant les 7 centres d’énergie,

◾ 7 – je coupe les lignes. Je remercie en visualisant la libération.

⚠ Cette méthode présente tout un tas de subtilités qui sont formidablement bien expliquées dans le livre de L. Bernier et R. Lenghan, un ouvrage rempli de schémas et d’exemples de situations à traiter.

* formateur et conférencier québécois, auteur entre autres du “grand dictionnaire des malaises et des maladies” et créateur de la technique des petits bonhommes allumettes.

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Développer la compréhension de soi.

La fenêtre de Johari est un modèle de communication et de compréhension des relations interpersonnelles créé par les psychologues Joseph Luft et Harry Ingham.

Ce modèle vise à expliquer comment l’information est partagée entre les individus dans un groupe ou une relation, et comment cela affecte la communication et la perception de soi et des autres.

Pour développer ses habiletés personnelles et mieux comprendre les interactions, il est utile de distinguer quatre dimensions qui représentent différentes zones de connaissance ou de perception :

◾ Zone ouverte (ouverture publique) : zone qui contient des informations sur nous-même que nous partageons volontairement avec les autres (état civil, profession, opinions, sentiments, expériences …) Plus cette zone est grande, plus on est ouvert et transparent dans sa communication.

◾ Zone aveugle : zone ou il y a peu ou pas de connaissance de soi-même, mais les autres peuvent avoir une perception de nous et de notre comportement (timbre de voix, non verbal …) La rétroaction des autres est importante pour élargir cette zone aveugle.

◾ Zone cachée (secrète) : qui contient des informations que nous choisissons de garder secrètes. Cela peut inclure des émotions profondes, des expériences traumatisantes, ou des pensées intimes. Une communication ouverte peut réduire cette zone en la faisant passer dans la zone ouverte.

◾ Zone inconnue : qui représente les aspects de nous-même et de notre expérience qui ne sont ni connus de nous ni des autres. Ces éléments peuvent émerger avec le temps grâce à la découverte personnelle ou à des événements imprévus.

La zone inconnue correspond à notre marge de progression, un espace qui permet de révéler des compétences, et des ressources inexploitées, des occasions nouvelles de formation, d’apprentissage et de progression.

Pour cela :

◾ plus on parle aux autres, plus on partage d’informations sur nous-même, plus ils en sauront à notre sujet (oui, il faut s’exposer !) plus on reçoit de commentaires constructifs, et plus notre compréhension de nous-même et de nos relations interpersonnelles s’améliorera (c’est le feedback, la rétroaction qui enrichit).

⚠ Pour explorer sa zone de développement personnel, il est important d’arriver à surmonter ses craintes et ne pas perdre trop d’énergie à se protéger.

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objectifs

De l’importance des quick wins

Mark Twain* disait : “Le secret pour avancer, c’est de commencer, de découper les tâches complexes et trop importantes en petites actions facilement réalisables. Puis d’entreprendre la première”.

C’est important : dès l’instant où l’on se met au travail, on a le sentiment d’accomplir quelque chose.

Et si chaque étape est considérée comme une victoire, ça nous permet de faire un pas en avant et de rester motivé…. et d’avancer jusqu’à la victoire suivante.

Parce qu’on a une fâcheuse tendance à procrastiner lorsque l’action à effectuer nous dépasse. L’idée est donc de porter toute son attention (et toute sa concentration) sur la prochaine petite étape à réaliser, le prochain petit domino à faire tomber.

* écrivain et essayiste du 19ème (Les Aventures de Huckleberry Finn, Tom Sawyer …)

de la spirale de la réussite, cet ensemble de comportements positifs et interdépendants qui amènent … à la réussite. Parallèlement, on parlera des pistes pour sortir de la spirale de l’échec

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effet-cumule-ebconsult

Quand les actions même dérisoires sont répétées sur du long terme, elles vont pouvoir impacter notre vie par un effet boule de neige.

Cet exemple (qui n’est pas une formule rigide, la vie est tout sauf une formule mathématique) nous encourage à réfléchir sur l’importance d’une discipline quotidienne des petits pas et sur les dangers de la gratification immédiate.

⚠ Mise au point : si on cherche à perdre du poids par exemple, craquer un soir sur un kinder Bueno n’a rien d’un échec. Manger son paquet de cookies chaque soir devant la télé a tout d’une priorité donnée à la gratification immédiate.

◾ La gratification immédiate c’est la tendance à renoncer à une récompense future afin d’obtenir une gratification moins grande mais plus immédiate.

◾ la gratification différée c’est la capacité à résister à la récompense immédiate dans le but d’obtenir une gratification plus importante plus tard.

Alors, oui atteindre nos objectifs exige des sacrifices … sinon on serait tous hyper accomplis.

Peter Hollins* explique que la force de volonté (autodiscipline) fonctionne comme un muscle : grâce à un bon état d’esprit (et de bons exercices comme faire sur le moment des choses difficiles ou pénibles parce que derrière nous attend une récompense à long terme), il est possible de la renforcer.

Darren Hardy dans son livre** nous parle également de ce mécanisme qui détermine notre discipline dans tous les domaines de notre vie.

⚠ Et on le répète : on ne se condamne pas pour les petits craquages qui jalonnent n’importe quel parcours.

Et pour les formules, c’est :

◾ 1.01^364=37.40
◾ 0.99^364=0.025

* dans son livre “La science de l’autodiscipline”
** the compound effect (l’effet cumulé)

d’après founders&founders

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Parce que nous ne sommes pas le centre du monde !

Un biais cognitif est une erreur de raisonnement, un schéma de pensée faussement cohérent piloté par nos émotions.
Nous faisons des erreurs de raisonnement ou de jugement qui ne sont que le revers de raccourcis mentaux le plus souvent très efficaces et bien utiles au quotidien.

L’effet de projecteur nous donne l’impression d’être remarqué par les autres beaucoup plus qu’ils ne nous remarquent en réalité.
Généralement quand la situation n’est pas à notre avantage, nous focalisons sur notre erreur, notre bévue .. ce qui peut provoquer une anxiété sociale, ou l’amplifier si elle est déjà présente en nous.
On s’imagine que tout le monde voit notre malaise.

Et en réalité, tout comme vous ne pensez pas aux gens en permanence, rassurez-vous, vous n’êtes pas la personne la plus importante pour eux non plus. En gros ils vous ont déjà oublié.

Voilà le petit biais de l’égo qui provoque de l’anxiété sociale en nous faisant croire que nous sommes le centre du monde 😉

Relax !

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Voici un joli visuel pour vous aider à persévérer pendant les petits (et grands) moments de doute, pour être l’acteur de notre propre changement grâce à la mise en valeur de la persévérance et l’optimisme.

À l’origine destiné aux enfants, cet outil partagé par Nathalie de Boisgrollier* est intéressant à bien des niveaux, puisqu’il permet à tous ceux qui ont du mal à gérer l’échec, de comprendre les notions de persévérance et d’optimisme.
Qu’on réussisse ou qu’on rate, on a toujours la possibilité de retomber sur ses pieds.

Nathalie de Boisgrollier met en évidence l’imbrication de la réussite et l’échec :

◾ accepter l’échec temporaire,
◾ identifier / exprimer son émotion en prenant conscience de la baisse passagère de motivation,
◾ se recentrer et se focaliser sur ce qui est vraiment important – prendre soin de soi grâce à des affirmations positives, en s’encourageant, en se rassurant,
◾ réessayer en visualisant l’objectif que l’on veut atteindre – et pourquoi pas en testant un nouvel objectif plus facile à atteindre, un autre chemin, ou une autre méthode …
◾ réussir 😉
◾ apprécier et valoriser ses succès pour nourrir la confiance en soi
◾ continuer …

* Heureux à l’école, tout commence à la maison : Le guide pratique des parents bienveillants.

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homeostasie

Déplacez l’équilibre qui vous fait résister …

Quand l’annonce d’un changement vient perturber notre homéostasie.

L’homéostasie c’est ce mécanisme totalement naturel de défense du système qui maintient en équilibre acquis, valeurs, règles, principes … en bref, toute une stabilité et un confort.

L’annonce de changement, interne ou externe, avec le stimulus généré, provoque des perturbations sous la forme d’une résistance qui vient confronter cette stabilité.

Hé oui, il y a toujours une partie de nous qui refuse de changer, quand bien même on sait pertinemment que l’évolution apportera du “mieux”.

Changer d’habitude est souvent difficile et demande des efforts, du temps, de la régularité et de l’engagement : reposez-vous sur vos forces motrices, ce sont elles qui vous aideront à combattre les résistances … à la condition qu’elles soient suffisamment fortes, nombreuses et sollicitées.

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Le paradoxe de la double contrainte

Même s’il y a certaines nuances qui distinguent la double contrainte de l’injonction paradoxale*, les deux apportent beaucoup de confusion et d’impuissance dans la communication, voire une menace pour l’intégrité : on ne peut leur obéir sans leur désobéir.

Par exemple, en entreprise, ça pourrait donner “innovez, soyez créatif mais respectez les critères exigés par la boite”

Ces doubles contraintes peuvent se trouver dans une même phrase ou être provoquées par deux requêtes différentes. En les identifiant et en en comprenant la structure, il est tout à fait possible de développer des méthodes et des stratégies pour les dépasser et les modifier.

☺ Une petite histoire, toujours de Paul Watzlawick** :

Un capitaine ordonne à un soldat de raser tous les soldats de la compagnie “qui ne se rasent pas eux-mêmes et aucun autre”.
Le soldat se trouve alors dans la situation embarrassante de ne pas savoir s’il doit se classer dans la catégorie des soldats qui ne se rasent pas eux-mêmes ou dans celle des soldats qui se rasent eux-mêmes et il est dans l’impossibilité d’exécuter l’ordre précis du capitaine.

Mais n’oublions pas non plus qu’il existe la double contrainte positive !

* dans l’injonction paradoxale, il y a toujours une possibilité de commenter sur l’absurdité, la double contrainte désigne une situation de paradoxe imposé par l’autorité.
** psychologue jungien, psychothérapeute, et sociologue de l’école de Palo Alto

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le-principe-kiss

Acronyme qui signifie “Reste simple, (idiot)”, ce principe rappelle l’importance de la simplicité dans la résolution de problèmes et la prise de décisions.

Ses origines ne sont pas clairement définies, mais une des premières utilisations de “Keep It Simple, Stupid” remonte aux années 1960 : Kelly Johnson*, à la tête de l’équipe de développement de l’avion de chasse Lockheed U-2, aurait encouragé ses ingénieurs à concevoir des avions de chasse de manière simple et efficace.

Quoi qu’il en soit, le principe KISS est devenu un principe bien établi dans le domaine de la conception et de la gestion de projet, où il est souvent utilisé pour encourager la simplicité, la clarté et l’efficacité. En résumé : éviter la complexité inutile, prioriser la simplicité, faciliter la compréhension, réduire les risques d’erreurs, faire une économie de ressources.

Le principe KISS s’applique également à la communication interpersonnelle : en adoptant une approche simple et directe, on peut établir des relations bien plus efficaces, éviter les malentendus et créer une atmosphère de communication ouverte et transparente avec les autres.

⚠ Le principe KISS ne signifie pas qu’il faut nécessairement éviter toute forme de complexité, car certaines situations peuvent vraiment nécessiter des solutions complexes ; il suggère que la complexité doit être justifiée et que la simplicité devrait être la règle plutôt que l’exception.

* Clarence Leonard “Kelly” Johnson (1910 – 1990) ingénieur en aérospatiale chez Lockheed.

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Quand les autres nous en apprennent beaucoup sur nous-mêmes

L’effet miroir est peut-être l’un des plus puissants outils proposés par le développement personnel.
C’est une aide précieuse pour nous aider à changer et s’améliorer.

On peut vraiment apprendre sur soi grâce à son entourage. Surtout ceux qui nous agacent ou ceux qu’on critique.

C’est la projection, un mécanisme de défense (ou de négation) car nous ne voulons pas voir que c’est un trait de caractère qu’on retrouve aussi chez nous. Et que nous ne l’aimons pas vraiment. Les parties de nous que nous ne voulons pas assumer, on va les cacher, les mettre dans l’ombre.

Et ce que nous cherchons à étouffer en nous, l’autre nous le met en lumière (et inversement) … et souvent de façon disproportionnée.

On peut aussi en faire un levier positif en prenant conscience de nos schémas …

« Tout ce qui nous irrite sur les autres peut nous conduire à une meilleure compréhension de nous-mêmes. »
Carl Gustav Jung

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Parce que le mieux est l’ennemi du bien …

Si au début on peut croire à une éloge de l’imperfection, il s’agit en réalité d’un vrai constat : bien souvent, avant de se “lancer”, on se met une pression énorme parce qu’on s’imagine qu’il faut que tout soit parfait.

Et c’est ce “il faut que tout soit parfait” qui démoralise et décourage… avant même de commencer, vu l’importance de la tâche !
Et qui peut faire qu’on ne commence …. jamais !

On en a parlé il n’y a pas longtemps, la procrastination est un signal émotionnel :

Si on retarde un travail important, c’est juste parce qu’il nous provoque de l’anxiété*. Alors que tant qu’on reste dans l’imaginaire, le futur peut facilement être imaginé parfait.
C’est comme ça qu’on arrive à repousser sans cesse le début d’un projet.

Faites, même si ce n’est pas parfait :

◾ parce que rester bloqué, ça fait fondre l’estime de soi, alors qu’avancer c’est motivant,
◾ parce que tout le monde commence en faisant des erreurs et il n’y a que ceux qui ont commencé qui peuvent s’améliorer.
◾ parce que le perfectionnisme est très souvent un ennemi qui camouffle la peur de prendre des risques.
◾ et parce que que les autres sont bien plus indulgents qu’on ne pense (en fait, ils les aiment bien, les gens imparfaits :))

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La loi de l’attraction ou l’autosuggestion positive : j’attire à moi ce que je pense

Parce qu’on est lundi matin et que c’est le bon moment pour se motiver, voici une petite loi magique.

Magique ? Non, pas tant que ça, la loi de l’attraction repose sur le principe simple que nos pensées influencent notre environnement .. et notre vie. Tout ce qui nous arrive, le positif comme le négatif, c’est nous-mêmes qui le créons.

Un peu comme : Qui se ressemble, s’assemble … ou : On récolte ce qu’on sème, en gros c’est la force de l’intention qui fonctionne comme un aimant.

C’est très simple :
◾ si nos pensées sont négatives, nos émotions sont négatives, on est dans un bad mood et on s’attire du négatif.
◾ si au contraire nos pensées sont positives, nos émotions sont positives, on est dans un good mood et on attire du positif.

C’est notre regard qui se transforme : supposez que vous vous leviez de mauvaise humeur, vous allez avoir tendance à remarquer tout ce qui va alimenter votre mauvaise humeur. Inversement, lorsque vous êtes de bonne humeur tout vous paraitra plus beau dans la vie.

Slavica Bogdanov* nous conseille d’essayer de rester au maximum dans une attitude positive, de pratiquer la gratitude, la méditation .. et quelques petites affirmations positives à se répéter comme des mantras, formidables leviers pour cultiver la positivité.

* Slavica Bogdanov est entrepreneur et coach de vie. Elle est l’auteur de La loi de l’attraction pour les Nuls et a créé “Attractitude”, une plateforme web proposant des séminaires sur le sujet.

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Toutes ces sollicitations qui nous dérangent

F. Délivré nous fait représenter nos vieilles croyances sous la jolie forme de diablotins qui se manifestent en nous par des émotions démotivantes du style ” il faut “, ” je dois “, ” je ne peux pas ” …

Pour résumer à l’extrême le concept, voici ces diablotins (et leurs exemples respectifs de permissions que vous pouvez vous accorder) :

1️⃣ Cigale : C’est celui qui ne cesse de reporter les tâches qui ne sait pas anticiper et vous fait courir à la dernière minute.
Permettez-vous de penser qu’anticiper réduit le stress de manière conséquente.

◾ Marmotte : vous le connaissez, c’est celui qui se cache derrière ses rêves
Permettez-vous de penser qu’on peut aussi “vivre vos rêves plutôt que de rêver sa vie”

◾ Pendules folles : c’est celui qui sous-estime les deadlines et vous fait prendre trop de responsabilités.
Permettez-vous de penser que vous imposer une marge de manœuvre est indispensable

◾ Hibou : c’est le petit diable peureux et indécis, il a vraiment peur de prendre de mauvaises décisions. Il vous empêche d’avancer.
Permettez-vous de penser que renoncer à un des choix n’est pas définitif mais permet d’aller en explorer d’autres

◾ Sancho Pança : le petit diable qui fuit les responsabilités,
Permettez-vous de penser que prendre des risques ne va pas forcément être une catastrophe

◾ On : c’est celui qui dilue les responsabilités ..”On fait quoi ?”
Permettez-vous de penser que vous pouvez vous engager et demander aux autres de s’engager également

◾ Papillonne ! : le petit diable qui vous disperse et vous incite à commencer des milliers de choses au même moment sans les terminer
Permettez-vous de penser que de vous focaliser sur ce que vous êtes en train de faire est plus important que tout le reste

◾ Sois sympa ! : ce petit diable qui vous oblige entre autres à toujours dire oui au détriment de vos propres priorités.
Permettez-vous de penser que vous êtes aussi important que les autres

◾ Ne t’arrête pas ! : c’est celui qui vous redonne la force de continuer pour tout faire parfaitement.
Permettez-vous de penser que se reposer est essentiel, même pour être productif

◾ 36 fois la même chose : c’est le petit diable qui ne donne pas de recul et pousse à refaire les mêmes erreurs.
Permettez-vous de penser que certaines situations se ressemblent et que vous pouvez sûrement modéliser

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Prenons notre part de gâteau !

Le bonheur chronique c’est tout simplement la tendance d’une personne à maintenir un niveau relativement stable de bonheur sur une longue période de temps.

Selon les recherches de Sonja Lyubomirsky*, il serait influencé par trois facteurs principaux qui se divisent ainsi :

◾ La génétique :
Une partie de notre niveau de bonheur (50%) est attribuée à notre constitution génétique. Certaines personnes peuvent avoir une prédisposition naturelle à être plus heureuses que d’autres en raison de leurs gènes.

◾ Les circonstances de vie :
Les circonstances de vie, telles que le statut économique, le statut marital, le niveau d’éducation, la situation financière, le logement, etc., peuvent avoir un impact sur notre bonheur à court terme. Cependant, selon les recherches de Lyubomirsky, ces circonstances ne jouent qu’un rôle limité dans notre bonheur à long terme. Une fois que nous nous adaptons à ces circonstances, leur effet sur notre bonheur tend à s’estomper.

◾ Les activités intentionnelles :
C’est le facteur le plus influent, celui sur lequel nous pouvons agir. Les activités intentionnelles, volontaires font référence aux actions que nous choisissons de mettre en place dans notre vie pour augmenter notre bonheur. Par exemple, la pratique de la gratitude, l’exercice physique régulier, l’investissement dans des relations sociales positives, l’expression de la gentillesse envers les autres, etc.
Sonja Lyubomirsky a constaté que lorsque les individus intègrent intentionnellement ces activités dans leur quotidien, ils améliorent significativement leur bonheur chronique.

Ce qui prouve que peu importe qui on est et ce qu’on a vécu, bien sûr nous ne pouvons pas changer notre constitution génétique ou certaines circonstances externes, mais nous pouvons toujours agir sur notre bonheur. Et la prise de conscience est un élément fondamental !

* chercheuse en psychologie positive, spécialisée dans l’étude du bonheur et du bien-être, auteur du livre “Comment être heureux et le rester”

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le-kintsugi

Quand nos blessures deviennent nos richesses …

Au départ technique japonaise de jointure à l’or (et parfois aussi à la laque), le kintsugi se prête à une merveilleuse métaphore sur les blessures de la vie.

Comme la philosophie du bol brisé, réparé et sublimé par son ciment doré,
si nous commencions à apprécier ce qui n’est pas parfait en nous comme autant de signes de notre richesse de vie : nos côtés imparfaits et de guingois, nos erreurs, nos blessures visibles et invisibles.

Comme un bol réparé, si nous acceptions le fait que c’est ce qui nous a construit, façonné … en gros ce qui fait que nous sommes ce que nous sommes, et que là est notre richesse.

Une belle semaine à tous ceux qui ont été maintes fois brisés et maintes fois réparés 🥰

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