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Quand tout est question de point de vue …

Il y a plusieurs versions de cette fable très ancienne*

Peu importe celle que vous préférez, La morale est toujours la même, à savoir que la vérité est toute relative, qu’elle n’est jamais le constat d’un seul point de vue ou d’une seule perception.
Du reste le Jaïnisme enseigne que toute vérité peut être exprimée de sept manières différentes.

C’est pour cela qu’il faut être ouvert et tolérant envers les opinions et les idées des autres. D’autant plus que si chacun a partiellement raison, tout le monde est potentiellement dans l’erreur.

À l’échelle de l’entreprise, une nouvelle vérité peut apparaître de la confrontation et de la mise en commun de différentes vérités individuelles.
Et la capacité à rassembler toutes les vérités pour en faire une vision commune peut fédérer les collaborateurs à un projet commun qui inclut l’individualité.

C’est typiquement la force de l’intelligence collective (et de la collaboration générative).

* probablement 500 av. J.C bien que l’histoire orale soit sûrement plus ancienne encore que le texte bouddhiste (“Udana” and the “Itivuttaka”: Two Classics from the Pali Canon – John Ireland)

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La position de vie ou (position relationnelle) est la valeur que l’on accorde à soi-même et aux autres.

En fonction de la vision, positive ou non de soi, et de la vision, positive ou non de l’autre, on obtient quatre positions de vie qui s’appliquent autant à des environnements personnels que professionnels :

◾ Je suis ok et l’autre est ok (+/+) c’est la position saine et coopérative gagnant-gagnant : on a une bonne estime de soi-même et on a également une bonne estime de l’autre, on le respecte, on respecte ses idées, ses choix.

◾ Je ne suis pas ok et l’autre est ok (-/+) On se sent inférieur à l’autre, on se dénigre et on a envie de fuir. On se sent victime.

◾ Je suis ok et l’autre n’est pas ok (+/-) On se sent supérieur à l’autre, c’est l’arrogance, on veut gagner à tout prix. On risque vite de persécuter l’autre.

◾ Je ne suis pas ok et l’autre n’est pas ok (-/-) C’est la position de la déprime, c’est l’impasse, souvent il n’y a pas d’horizon.

Vous connaissez sûrement l’expression : on se sent ok ou pas ok par rapport à la vie :

👍 Être ok, c’est se sentir aligné dans sa vie et dans ses choix, responsable de ce qui arrive.
👎 Être pas ok c’est le contraire, c’est ne pas se sentir à la hauteur, souvent victime. On ne s’estime pas.

Par exemple, si vous ressentez un malaise dans une relation c’est souvent le signe d’une position pas ok.

L’utilité de ce schéma est de pouvoir se positionner, soi-même, également soi par rapport aux autres et de pouvoir identifier et travailler notre relation à l’autre en conscience pour pouvoir accéder plus facilement à une position */* win-win

* un des concepts de base de l’Analyse Transactionnelle dans “Que dites-vous après avoir dit bonjour” d’Éric Berne.

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Que votre parole soit impeccable (1er accord toltèque)

Même s’il s’agit plus d’un ensemble de facteurs imbriqués que de la seule responsabilité de la communication,
il n’est plus nécessaire de rappeler l’importance de parler vrai, de parler productif. Car ‘la communication est avant tout une intention, un engagement constant”.

Après 4 les péchés capitaux de la communication non productive, qui génère des problèmes, cause des torts et paralyse l’action (n’hésitez pas à nous le demander si vous ne l’avez pas vu passer votre fil LinkedIn),
Thomas Zweifel partage ses “six secrets manifestes .. ou parler pour produire des résultats”.

Bien communiquer ne résout pas toujours tout, mais c’est déjà un bon début …

Tiré de Communiquer ou mourir de Thomas Zweifel

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Décryptons ….

Alors oui, le mythe est un peu tombé après avoir qu’elles aient été (sûrement trop) idolatrées.
Mais le concept des neurones miroirs reste intéressant car ces petites cellules jouent un rôle très important dans le codage des actions et dans les apprentissages moteurs.
Elles seraient le support d’actions spécifiques comme comprendre l’action réalisée par quelqu’un car, pendant qu’elle a lieu sous nos yeux, elle se déroule aussi dans notre tête.

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Quand le poids s’accumule …

Elle n’est pas forcément facile à determiner cette fameuse charge mentale qui résulte de l’interaction complexe d’éléments individuels, organisationnels, techniques et sociaux.

Si chaque jour quand vous finissez votre travail ou votre journée, vous vous sentez fatigué, même en bonne compagnie (famille, amis…) ; si vous continuez à réfléchir à tout ce qui vous reste à faire et qui vous attend le lendemain ; si même la nuit vous rêvez de tout ça, il y a de fortes chances que vous soyez en surcharge mentale.

Pour Jean-Philippe Lachaux, la charge mentale est liée à la nature humaine, à la faculté d’anticiper les conséquences de ses propres actions à long terme. Elle est donc proportionnelle à l’intensité de l’angoisse d’oublier de devoir faire quelque chose d’important.

La charge mentale ce n’est pas seulement la charge de travail et la réalisation des tâches, c’est aussi le fait de (devoir) y penser.

Et si la répartition des tâches ménagères d’un couple a bien progressé, le point d’équilibre n’est toujours pas atteint et on constate que la charge mentale “ménagère” affecte davantage les femmes qui sont spécialement préoccupées par tout un tas de petites actions du quotidien qui peuvent sembler anodines (surcharge invisible).

Que ce soit au travail ou à la maison, il est important d’identifier les sources de stress et de fatigue, puis essayer de ralentir le rythme, apprendre à déléguer, s’organiser …

Plus facile à dire qu’à faire ?

Cette publication est destinée à informer et n’a pas vocation à être exhaustive ni à se substituer aux conseils d’un professionnel de santé.

* directeur de recherche à l’Inserm

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Trois formes d’épuisement professionnel :

Si la souffrance au travail peut prendre différentes formes, toutes mènent à des symptômes plus ou moins équivalents* quand la situation dure dans le temps :
épuisement (physique, émotionnel, mental), stress, anxiété, angoisse, dépression, perte d’estime de soi, troubles du sommeil, démotivation et désengagement, perte de sens ainsi que des signes physiques comme fatigue permanente, mal de dos, migraine, maux de ventre, infections, etc ….

◾ Je m’ennuie à mourir
Ça pourrait être le bore-out (boredom > ennui, lassitude)
Quand on ne voit pas l’utilité de son travail, ni de l’utilisation que l’on fait de ses compétences par rapport aux tâches confiées … parce qu’il n’y a ni objectifs, ni défis : on s’épuise d’ennui.

◾ Mais pourquoi je suis là, qu’est-ce que je fais ici ?
Ça pourrait être le brown-out (brown-out > baisse de tension)
Quand il y a perte de sens au travail et qu’on s’interroge sur l’intérêt (l’absurdité) des missions à accomplir.

◾ C’est trop là, je n’en peux plus
Ça pourrait être le burn-out (to burn-out > se consumer).
C’est un état d’épuisement physique, émotionnel et mental provoqué par une surcharge de travail (qui fait suite la plupart du temps à un stress chronique).

* Cette animation est uniquement destinée à informer. Elle n’a pas vocation à être exhaustive, ni à se substituer aux conseils d’un professionnel de santé compétent.

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Dynamique d’apaisement

Quand ce qui nous a blessé est une souffrance que nous n’avons pas digérée.

Pardonner, non pas parce que le pardon est tout à coup jugé mérité mais parce que nous, nous méritons d’avoir la paix. Comprendre que c’est avant tout pour nous que nous le faisons. Un don à soi.

Le pardon est intrapersonnel, à différencier de la réconciliation qui est interpersonnelle et qui est, elle, un don à la relation, par conséquent aussi un don à l’autre.

C’est aussi savoir différencier la personne de ses actes (si on pardonne la personne, on n’oublie pas ses actes pour autant).

Le pardon est sans nul doute un des efforts psychologiques parmi les plus difficiles que nous ayons à accomplir.
C’est un processus qui prend du temps, qui est souvent complexe et douloureux, mais qui nous permet de reprendre le contrôle de notre vie. C’est un acte profondément libérateur pour nous !

Délivrance morale, certes, mais également physique, le ressentiment pouvant avoir un impact négatif sur notre santé (les vrais bénéfices du pardon sur le plan de la santé ne s’appliqueraient toutefois qu’au pardon émotionnel)

” La tranquillité est à l’esprit ce que le sommeil est au corps ”
Alexander Pope*, (Les maximes et réflexions morales)

* poète et essayiste anglais (1688 – 1744)

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Ces émotions qui nous rassemblent

Est-il encore besoin de relever qu’il est vraiment important d’avoir un autre regard sur l’émotion, les émotions.
Au niveau de la personne, certes, mais aussi au niveau de l’organisation du point de vue managérial.

Si exprimer nos émotions amène à la satisfaction de nos besoins, l’envie de partager des moments clés de notre existence est légitime, vitale.
Non seulement pour l’individu lui-même, mais c’est également une source de richesse pour la collectivité (même au travail) grâce à l’interaction et la dynamique engendrées.

Donnons une seconde chance à l’émotion (António Damásio)

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Réconciliation

Tout n’est pas à jeter dans la compétition.

Il n’existe pas de règle générale ni d’obligation d’être toujours dans l’esprit win-win.
Dans une rencontre sportive, si vous gagnez, l’autre perd.
C’est une solution qui vous stimulera et que vous allez préférer par exemple si vous dirigez une entreprise.

Toutefois, à l’intérieur même d’un groupe, d’une équipe, d’une société, la compétition peut entraîner des catastrophes car le travail demande la coopération de tous

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L’inclusion, règle d’or.

La diversité est le moteur de l’invention. Elle génère une créativité qui enrichit le monde.
Sans diversité, les systèmes meurent.

La diversité n’est ni positive ni négative et ce n’est pas un problème à résoudre … la diversité existe, tout simplement :

◾ la diversité, ce n’est pas le genre, l’âge, l’orientation sexuelle ou la capacité physique.
Le genre, l’âge, l’orientation sexuelle ou la capacité physique sont juste un aspect de la diversité humaine.

◾ la diversité ce n’est pas non plus l’ethnicité. Dans la mesure où elle peut être définie, l’ethnicité est un élément de la diversité naturelle.

◾ Ce n’est pas non plus les systèmes de croyances qui sont purement… des croyances, construites par l’homme.

◾ Et pas non plus la nationalité, qui tout comme les pays, est seulement un concept, une construction.

Développer une culture d’inclusion crée des liens forts et améliore les opportunités.

Ce schéma bien connu a été largement reproduit et connaît de nombreuses variantes. Il proviendrait d’un site espagnol non identifié.

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10 croyances sans fondement rationnel qui peuvent éloigner du bonheur.

Pendant toutes ses années de pratique, Albert ELLIS* a identifié des croyances irrationnelles et autodestructrices qui revenaient chez beaucoup de ses patients.

Comme ce sont nos nos pensées et nos croyances qui créent nos émotions, il est important :

◾ d’identifier les croyances irrationnelles,
◾ de leur opposer une ou plusieurs idées rationnelles.

Par exemple à la croyance “j’ai besoin d’être aimé de tout le monde”, on peut substituer :
◾ il faut de tout pour faire un monde et tous les goûts sont dans la nature
◾ si on veut à tout prix plaire à tout le monde, on en perd jusqu’à sa propre identité
◾ à toujours s’adapter à l’autre pour rechercher son approbation, on risque de devenir terne pour lui et de le lasser
◾ etc

Changer une habitude est souvent difficile. Parfois la prise de conscience et le changement prennent du temps, plusieurs expériences et des échecs.

Mais ce schéma est un bon point de départ.
En se détachant de nos idées irrationnelles nous pouvons vraiment améliorer notre vie.

* psychologue américain co-fondateurs de la thérapie cognitive dans “La thérapie rationnelle émotive” – 1962

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Libérons-nous !

Nous sommes tous un peu cet éléphant de la fable : nous vivons au fil des années, attachés (parfois depuis le plus jeune âge) à ces centaines de pieux que sont nos croyances, parce que nous avons été conditionnées par nos expériences passées, nos échecs, nos déceptions.

Et ces attaches nous retirent une bonne partie de notre liberté. Liberté d’agir et d’évoluer

Nous continuons dans l’idée que “nous ne savons pas faire”, “nous ne pouvons pas faire” tout un tas de choses, pour l’unique raison qu’un jour, une fois, nous avons essayé et n’avons pas réussi.

Prendre conscience, accepter et identifier ces chaînes, ces pieux est déjà un grand pas pour se mettre dans l’action et débloquer nos croyances limitantes.

Rappelons les 3 types principaux de croyances :

◾ le manque d’espoir : l’objectif n’est pas réalisable, indépendamment de nos capacités, on est victime.

◾ le manque de capacité : on est impuissant. L’objectif est à la portée des autres mais pas pour nous. On n’est pas assez doué ou pas capable.

◾ Le manque de valeur : on pense qu’on ne le mérite pas … à cause de votre manière d’être ou de quelque chose qu’on a fait, ou pas fait.

* Jorge Bucay dans son recueil d’histoires “laisse moi te raconter le chemin de la vie”

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verre à moitié vide ou à moitié plein

Un pessimiste voit les difficultés dans chaque opportunité ; un optimiste voit les opportunités dans chaque difficulté ». Winston Churchill.

L’optimisme et le pessimisme déterminent notre façon d’interpréter les évènements, notre vision du monde, définissant parfois même nos valeurs.
Ils découlent de notre éducation, nos expériences passées et des croyances que nous nous sommes forgées.

◾ Là où un pessimiste dira “Je n’ai jamais de chance”, un optimiste dira ”Je n’ai pas eu de chance ce coup-ci”.
◾ Là où un pessimiste dira “Il y a un problème”, un optimiste dira ”On va trouver une solution”.

L’optimiste ne refuse jamais de voir le côté négatif des choses, il refuse simplement de s’attarder dessus Alexandre Lockart

⚠ Précisons bien qu’il ne s’agit pas de considérer l’analyse comme une opposition binaire pessimiste/optimiste avec des étiquettes réductrices mais comme une tendance globale, un trait de personnalité pour nous permettre de comprendre les divergences d’attitudes, sans hostilité ni jugement.

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Rapide, pas cher et de qualité : vous ne pouvez en choisir que deux

Vous avez sûrement déjà vu ce diagramme de Venn qui mentionne le fait que l’on ne peut pas obtenir une réalisation rapide, qui soit de bonne qualité et bon marché de surcroit. Vous l’avez peut-être même rencontré sous une version différente, sous forme de triangle* ou de liste.

Il provient d’une étude menée par Weinberg et Schulmanen** qui prouve que ces critères de satisfaction ne sont pas compatibles.
À l’époque, les chercheurs avaient demandé à plusieurs équipes informatiques de réaliser le même programme, en se concentrant chacune sur un objectif différent.

Sans s’attarder sur les détails de cette expérience, l’important reste à savoir que ce diagramme démontre qu’il n’est pas raisonnable de s’attendre à obtenir les trois critères réunis dans un même projet.

En gros :
◾ vous pouvez réaliser quelque chose rapidement et de bonne qualité, mais cela coûtera très cher,
◾ vous pouvez réaliser quelque chose rapidement et à moindre coût, mais ce ne sera pas de bonne qualité,
◾ vous pouvez réaliser quelque chose de bonne qualité et à faible coût, mais cela prendra beaucoup de temps.

Et même si le principe s’applique au départ aux projets informatiques, il est valable pour bien d’autres cœurs de métiers.

* On fait aussi référence au triangle de fer.
** Gerald Weinberg et Edward Schulmanen (Goals and Performance in Computer Programming, 1974)

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Envie de nouveauté ?

Le syndrome de l’objet brillant fait partie des croyances limitantes. Il se manifeste par le fait d’être constamment attiré par ce qui est nouveau.

Bien sûr, on est tous plus ou moins concernés. On a tous envie de temps à autre de nouveauté, d’essayer ce “truc” qui paraît tellement magique et dont tout le monde parle.

Malheureusement quand c’est systématique, il y a des conséquences négatives.

Outre le coût impliqué par les changements et les renouvellements constants (qu’ils soient matériels ou stratégiques), on va se disperser à toujours courir d’autres lièvres, ne jamais finir ce qu’on commence, avec une baisse de confiance en soi (forcément, on n’y arrive pas malgré tous ces efforts) et pour finir … une baisse de moral.

En entrepreneuriat le syndrome de l’objet brillant est très fréquent.
C’est quand on a la conviction que si on n’utilise pas toutes les nouveautés mises à disposition (et qui nos promettent beaucoup), notre activité ne peut pas bien fonctionner. Malheureusement, ce sentiment bloque plus qu’il développe notre business.

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Connaître notre capacité à communiquer …

Pour citer Thomas Zweifel, une des choses à apprendre à identifier immédiatement dès lors qu’il s’agit de communiquer avec quelqu’un, c’est le domaine où se situe votre communication.

Voici une pyramide (encore une 😉) qui met bien en évidence l’importance des différentes composantes d’une communication efficace,.
Principalement tournée vers le domaine professionnel dont elle utilise très fortement le langage, elle est tout à fait transposable dans les autres sphères de la vie.

⚠ warning 1 : si vous sentez votre interlocuteur contrarié, il est fort probable que la base relationnelle n’est pas assez assurée. Plutôt que de chercher à continuer, revenez travailler la relation, les bases de votre collaboration.

⚠ warning 2 : si les gens regrettent le passé, sont cyniques et résignés, ou se plaignent sans arrêt, c’est souvent un manque de vision commune. Revenez chercher ce qui vous avait rassemblés au tout début.

⚠ warning 3 : si vous constatez un manque d’intérêt, si les personnes ne savent pas ce qu’elles doivent faire, c’est sûrement que la stratégie n’est pas claire .. ou alors qu’elles n’y adhèrent pas. Dans ce cas la communication doit se concentrer sur le “comment”.

⚠ warning 4 : et si les engagements ne sont pas pris ou tenus (à condition bien entendu que les trois niveaux inférieurs de la pyramide reposent sur des bases solides), revoyez votre communication pour l’action.

Le plus important restant de toujours savoir à quel niveau de la pyramide la communication se situe.

* dans son livre “communiquer ou mourir”

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Les filtres à la communication

C’est quoi un cadre pour vous ?
Un manager, un tableau accroché au mur … ou encore un décor ?

Lorsqu’on communique, il est important d’être attentif à la compréhension du message par le récepteur.
Les mots que vous utilisez, la manière dont vous les utilisez et tout autant votre non-verbal contiennent des informations qui vont être interprétés.

Etre vigilant quand on communique permet d’éviter bien des malentendus …

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La procrastination est rarement causée par une mauvaise organisation, bien sûr ça arrive, mais généralement elle est occasionnée par des raisons d’ordre émotionnel.

Souvent :

◾ si nous retardons un travail important, c’est parce qu’il cause de l’anxiété,
◾ si nous retardons un travail plus secondaire, c’est qu’il n’est pas gratifiant dans l’instant.

On est d’accord que dès lors qu’il s’agit d’une activité hyper plaisante ou gratifiante, personne ne rencontre vraiment de souci de procrastination (on est aussi d’accord que procrastiner de temps en temps c’est pas mal non plus)

Par contre, chaque fois que nous reportons une tâche, ça pèse sur notre moral.

◾ L’anxiété : la tâche est complexe ou floue, l’objectif à atteindre n’est pas clair ou bien vous ne savez pas par où commencer. Vous redoutez peut-être les conséquences qui vont en découler.

◾ Le manque d’intérêt : la tâche vous semble dénuée d’attrait. Elle vous ennuie. Elle n’est pas gratifiante, vous n’en retirez aucune fierté, aucune valorisation …

Cet évitement temporaire va soulager sur le moment, mais va également augmenter la tension à long terme et ça va devenir stressant.

Après avoir analysé les causes de la procrastination et compris ses raisons sous-jacentes, on diminue l’anxiété ou l’ennui en :

◾ découpant en étapes plus petites un projet trop ambitieux,
◾ procédant par micro-objectifs successifs faciles à réaliser,
◾ prenant conscience des tâches accomplies, si petites soient-elles (ah, la to-do list !)
◾ vous récompensant par des pauses et des moments agréables

⚠ Et aussi n’oubliez pas que certaines tâches ne méritent même pas qu’on perde du temps à les faire.

Tiré de la “boîte à outils de l’Efficacité professionnelle” (Dunod, 2e édition) de Pascale Bélorgey.

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Un système tout en dualité.

Il est important de comprendre que ce conflit permanent entre deux facettes qui nous composent représente en réalité notre équilibre.

◾ L’ego* est généralement défini comme la partie de la personnalité qui est consciente de soi. Il nous caractérise au niveau sociétal et cherche à satisfaire divers besoins : physiologiques – d’intégration sociale – de sécurité. il nous dit qui nous sommes et où aller. Il nous ancre à la matérialité nécessaire.
Quand on pense que le bonheur dépend des éléments extérieurs, c’est notre ego qui parle.
Trop d’ego par rapport à l’âme et c’est l’auto-satisfaction

◾ L’âme** c’est aussi nous, mais orienté vers l’extérieur, vers le collectif. Pour Jung***, elle symbolise l’inconscient collectif. Elle nous connecte avec ce qui apporte sens et valeur à notre vie.
Quand on pense que le bonheur n’est pas dépendant des événements extérieurs, c’est notre âme qui parle.
Trop d’âme par rapport à l’ego et c’est l’auto-dépréciation.

Le modèle de Dilts**** sur le charisme considère que c’est un équilibre entre l’ego et l’âme, quand les deux forces sont alignées et équilibrées, quand elles travaillent en harmonie :
la personne (ou le groupe) peut séduire, fédérer, voire fasciner.

Si le charisme est très souvent considéré comme une compétence naturelle, il est tout à fait possible de le travailler.

* Souvent assimilé trop rapidement à l’orgueil, à l’égocentrisme, au culte de soi, à l’ego surdimensionné, l’ego peut être un allié utile à condition de tenir un certain équilibre avec l’âme.

** ne pas confondre avec l’âme du point de vue spirituel ou religieux.

*** médecin psychiatre suisse

**** auteur, formateur et consultant américain spécialisé dans le domaine de la programmation neuro-linguistique.

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Quelques petites définitions …

Le formateur dispense sa formation autour d’objectifs pédagogiques préétablis et bien définis. Il se positionne en qualité d’expert et de sachant. Il y a un côté magistral à la formation : on écoute passivement et les informations viennent d’en haut.

L’animateur est celui qui est chargé de créer du mouvement, du nouveau au sein du groupe. Il instaure une relation plus égalitaire avec les apprenants qui sont plus actifs, qui construisent eux-mêmes leurs savoirs, et sont mis en action par de l’analyse, de la critique … l’animateur construit des solutions plus “sur-mesure”.

Le facilitateur est un chef d’orchestre centré sur les besoins et les attentes des participants.
◾ il met les membres de l’équipe sur la même longueur d’onde (en résonance),
◾ Il utilise les synergies et les différences pour plus de puissance,
◾ Il permet à l’équipe de faire émerger des idées qu’elle n’avait pas imaginées.

L’art de la facilitation consiste à créer les conditions favorables pour mettre en œuvre les processus d’intelligence collective au sein d’une équipe. Son but est de faire émerger des idées nouvelles en alignement avec la direction commune de façon durable tout en préservant la diversité des individus et la qualité du collectif.

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Faire le tri entre l’urgent et l’important.

Bien connu, cet outil de stratégie militaire (comme tant d’autres au départ) a été imaginé par Eisenhower*.
On va chercher à bien distinguer deux notions qui sont souvent confondues : urgence et importance.

◾ L’important ce sont les actions qui ont du sens pour nous, qui sont liées à nos priorités et qui auront des conséquences à court ou à long terme.

◾ L’urgent ce sont les choses à échéance très proche, des actions à mener face à une situation qui nous arrive, souvent elle n’était pas prévue et il faut la régler rapidement.

Les 4 sections permettent de prioriser facilement et efficacement les tâches en fonction de ces deux axes :

◾ 1 : les tâches importantes et urgentes,
◾ 2 : les tâches importantes, mais non urgentes,
◾ 3 : les tâches non importantes, mais urgentes,
◾ 4 : Les tâches non importantes et non urgentes.

Avec une priorité absolue pour l’urgent – important.

La matrice Einsenhower est applicable dans beaucoup de domaines, que ce soit dans la vie professionnelle ou dans la vie privée.

* Le général Dwight David Eisenhower a préparé l’opération OverLord, le plus grand débarquement de troupes militaires de l’Histoire (le débarquement de Normandie) à l’aide de cette matrice.
Eisenhower sera également président des Etats Unis de 1953 à 1961

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Reprendre de bonnes habitudes

Atteindre nos objectifs exige quelques sacrifices. Sinon, nous serions tous en super santé, accomplis, et plus éclairés.

Malheureusement, nous sommes souvent distraits dans la réalisation de nos projets à long terme par des activités à plus court terme, mais bien plus agréables.

Peter Hollins* explique que la force de volonté (autodiscipline) fonctionne comme un muscle : grâce à un bon état d’esprit (et de bons exercices comme faire sur le moment des choses difficiles ou pénibles parce derrière nous attend une récompense à long terme), il est possible de la renforcer.

La gratification différée est liée à de nombreux points positifs comme le succès académique, la santé physique et psychologique, et la compétence sociale**.

Et c’est vraiment une compétence qu’on peut acquérir et développer tout au long de sa vie.

“Faites attention à ne pas abandonner ce que vous voulez le plus pour ce que vous voulez maintenant” (Zig Ziglar)

* dans son livre “La science de l’autodiscipline”
** Wikipedia

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de l’importance des quick wins …

Mark Twain* disait : “Le secret pour avancer, c’est de commencer, de découper les tâches complexes et trop importantes en petites actions facilement réalisables. Puis d’entreprendre la première”.

C’est important : dès l’instant où l’on se met au travail, on a le sentiment d’accomplir quelque chose.

Et si chaque étape est considérée comme une victoire, ça nous permet de faire un pas en avant et de rester motivé…. et d’avancer jusqu’à la victoire suivante.

Parce qu’on a une fâcheuse tendance à procrastiner lorsque l’action à effectuer nous dépasse. L’idée est donc de porter toute son attention (et toute sa concentration) sur la prochaine petite étape à réaliser, le prochain petit domino à faire tomber.

* écrivain et essayiste du 19ème (Les Aventures de Huckleberry Finn, Tom Sawyer …)

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Pour Serge Tisseron* l’empathie “peut être représentée sous la forme d’une pyramide constituée de trois étages superposés, correspondant à des relations de plus en plus riches, partagées avec un nombre de plus en plus réduit de gens.”

◾ l’identification :
C’est le premier niveau : on comprend le point de vue de l’autre (empathie cognitive) et ce qu’il ressent (empathie émotionnelle). une résonnance s’établit déjà.

◾ la reconnaissance mutuelle :
C’est le deuxième niveau, la création de la réciprocité. Je m’identifie à l’autre et il peut s’identifier à moi. II comprend aussi ce que je comprends et ressent ce que je ressens.

◾ l’intersubjectivité :
C’est le troisième et dernier niveau, on reconnaît à l’autre la possibilité de nous éclairer sur les côtés de nous-même qu’on ignore, les barrières tombent, c’est la relation amicale (ou amoureuse) épanouie.
Cette forme complète d’empathie nécessite une vraie confiance

Serge Tisseron* différencie également bien nettement l’empathie de la sympathie (qui implique que l’on partage des valeurs avec l’autre – ce que n’exige pas l’empathie) et de la compassion (qui sous-entend un rapport plus inégal).

* Psychiatre et psychanalyste français membre de l’Académie des Technologies.

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Non !

Marre de vous prendre le boulot ou les tracas des autres ?

Oh, mais vous savez en réalité parfaitement dire non : à chaque fois vous vous dites non à vous-même quand vous dites oui aux autres alors que vous n’en n’aviez pas du tout envie.

Savoir dire non, c’est aussi développer votre affirmation de soi, vous respecter, vous, et faire en sorte que les autres vous respectent en retour.

Vous avez parfaitement le droit de dire non, de dire ce que vous pensez, de faire respecter vos limites et vos besoins, surtout quand c’est fait de manière bienveillante,

Comme beaucoup de choses, dire non sans agressivité ni culpabilité peut être travaillé.

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Daniel Goleman* définit l’intelligence émotionnelle comme l’ensemble des aptitudes, autres que le QI, qui sont nécessaires à la réussite dans la vie.

il a explique l’intelligence émotionnelle comme la capacité à apprendre les diverses aptitudes fondées sur cinq composantes :

◾ 1. La connaissance des émotions : capacité essentielle à la compréhension et la conscience de soi.
Parce que celui qui est aveugle à ce qu’il ressent est à la merci de ses sentiments, alors que ceux qui en sont capables
perçoivent plus clairement les répercussions de leurs décisions.

◾ 2. La maîtrise de ses émotions : ceux qui n’ont pas cette aptitude psychologique fondamentale sont en lutte constante
contre des sentiments pénibles, alors que ceux qui la possèdent supportent bien mieux les contrariétés.

◾ 3. L’automotivation : ceux qui sont capables de remettre à plus tard la satisfaction de leurs désirs sont en général extrêmement plus productifs et efficaces dans tout ce qu’ils entreprennent.

◾ 4. La perception des émotions d’autrui : c’est l’empathie, une autre faculté fondée sur la conscience de soi et qui constitue un élément fondamental de l’intelligence interpersonnelle. Les personnes empathiques sont plus réceptives aux signaux subtils qui indiquent les besoins et les désirs des autres.

◾ 5. La maîtrise des relations humaines : savoir entretenir de bonnes relations avec les autres, c’est en grande partie savoir gérer leurs émotions. Les personnes qui savent se rendre populaires, qui savent diriger et conduire efficacement leurs relations avec autrui réussissent dans toute entreprise fondée sur des rapports harmonieux.

* psychologue américain, auteur de nombreux ouvrages, dont, entre autres, le mythique ‘L’Intelligence émotionnelle’

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Parce que le mieux est l’ennemi du bien …

Si au début on peut croire à une éloge de l’imperfection, il s’agit en réalité d’un vrai constat : bien souvent, avant de se “lancer”, on se met une pression énorme parce qu’on s’imagine qu’il faut que tout soit parfait.

Et c’est ce “il faut que tout soit parfait” qui démoralise et décourage… avant même de commencer, vu l’importance de la tâche !
Et qui peut faire qu’on ne commence …. jamais !

On en a parlé il n’y a pas longtemps, la procrastination est un signal émotionnel :

Si on retarde un travail important, c’est juste parce qu’il nous provoque de l’anxiété*. Alors que tant qu’on reste dans l’imaginaire, le futur peut facilement être imaginé parfait.
C’est comme ça qu’on arrive à repousser sans cesse le début d’un projet.

Faites, même si ce n’est pas parfait :

◾ parce que rester bloqué, ça fait fondre l’estime de soi, alors qu’avancer c’est motivant,
◾ parce que tout le monde commence en faisant des erreurs et il n’y a que ceux qui ont commencé qui peuvent s’améliorer.
◾ parce que le perfectionnisme est très souvent un ennemi qui camouffle la peur de prendre des risques.
◾ et parce que que les autres sont bien plus indulgents qu’on ne pense (en fait, ils les aiment bien, les gens imparfaits :))

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Voici un joli visuel pour nous aider à persévérer pendant les petits (et grands) moments de doute, pour être l’acteur de notre propre changement grâce à la mise en valeur de la persévérance et l’optimisme.

À l’origine destiné aux enfants, cet outil partagé par Nathalie de Boisgrollier* est intéressant à bien des niveaux, puisqu’il permet à tous ceux qui ont du mal à gérer l’échec, de comprendre les notions de persévérance et d’optimisme.
Qu’on réussisse ou qu’on rate, on a toujours la possibilité de retomber sur ses pieds.

Nathalie de Boisgrollier met en évidence l’imbrication de la réussite et l’échec :

◾ accepter l’échec temporaire,
◾ identifier / exprimer son émotion en prenant conscience de la baisse passagère de motivation,
◾ se recentrer et se focaliser sur ce qui est vraiment important – prendre soin de soi grâce à des affirmations positives, en s’encourageant, en se rassurant,
◾ réessayer en visualisant l’objectif que l’on veut atteindre – et pourquoi pas en testant un nouvel objectif plus facile à atteindre, un autre chemin, ou une autre méthode …
◾ réussir 😉
◾ apprécier et valoriser ses succès pour nourrir la confiance en soi
◾ continuer …

* Heureux à l’école, tout commence à la maison : Le guide pratique des parents bienveillants.

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Voici le quadrant du cashflow, une représentation visuelle développée par Kiyosaki* visant à illustrer les différentes façons de gagner de l’argent et les types d’activités dans lesquelles on est tous impliqués.

En gros :

◾ l’employé gagne de l’argent en travaillant pour quelqu’un d’autre en échange d’un salaire. Il échange temps et compétences contre de l’argent. Ses heures sont limitées.

◾ le travailleur indépendant possède sa propre entreprise ou exerce une profession indépendante. Bien qu’il ait plus de contrôle que l’employé, son revenu est souvent lié à son propre travail, du coup ses heures sont également limitées.

◾ le chef d’entreprise crée des systèmes, des entreprises et des équipes pour générer des revenus. Il délègue le travail et se concentre sur la croissance de son entreprise. Son revenu n’est pas uniquement lié à son propre travail, ce qui lui donne plus de liberté et de potentiel.

◾ l’investisseur investit dans différentes opportunités : actions, biens immobiliers, entreprises … Son argent travaille pour lui et génère des revenus passifs tels que dividendes, loyers, intérêts …

Pour Kiyosaki, passer du côté droit du quadrant peut offrir plus de liberté financière à long terme car ces catégories impliquent la création de systèmes et de flux de revenus contrairement au côté gauche où le revenu est souvent lié au temps de travail investi, et donc largement limité.

⚠ Le quadrant du cashflow est une simplification de la réalité, une conceptualisation qui a ses avantages et ses limites. Comme toujours avec les concepts, il ne faut pas le considérer comme une formule rigide.
⚠ Il n’y a aucun jugement de valeur, tout le monde n’est pas nécessairement destiné à être entrepreneur ou investisseur. Il n’y a pas de voie unique vers la réussite de sa vie.

L’idée de Kiyosaki est juste d’amener une réflexion pour une prise de décision éclairée en matière de carrière, de finance et de vie, des décisions qui correspondent à nos valeurs, nos aspirations et notre situation unique.

* Robert Kiyosaki est un entrepreneur américain spécialisé dans le développement personnel, auteur du très célèbre “Père riche, père pauvre”.

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Petit test d’inventaire du burn-out* …

Le syndrome d’épuisement professionnel, qui est l’équivalent donné en français pour le terme anglais burn out est un épuisement aussi bien physique, émotionnel que mental.

Il provient la plupart du temps d’une situation qui dure dans le temps dans des conditions de travail qui sont trop exigeantes sur le plan émotionnel.

Les travaux de Christina Maslach, psychologue du travail, ont permis de définir le burn out comme un processus de dégradation à travers trois dimensions :
◾ l’épuisement émotionnel,
◾ la dépersonnalisation (déshumanisation)
◾ la diminution de l’accomplissement personnel et réduction de l’efficacité au niveau professionnel.

Vous pouvez accéder directement à ce test que nous vous avons transcris sur Excel >> https://eb-consult.fr/docs/MBI.xlsx
(n’oubliez pas d’activer les modifications en haut à droite 🙂)

* échelle MBI (Maslach Burnout Inventory) par la psychologue du travail Christina Maslach. Ce test a été initialement prévu pour le secteur médical.

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le test en fichier pdf
le test en fichier excel

la-roue-de-deming

le cycle vertueux de l’amélioration continue …

Elle est facile et pratique à mettre en oeuvre : la méthode popularisée par Deming* se sert de l’expérience comme base d’amélioration continue.

La roue de Deming est composée de 4 quartiers, chacun représentant une des 4 étapes :

◾ Plan(planifier préparer)
◾ Do (développer, mettre en œuvre)
◾ Check (vérifier, contrôler)
◾ Act (ajuster, réagir)

Notons l’importance de la cale, qui signifie qu’il faut être vigilant à ne pas revenir en arrière et capitaliser sur le travail déjà fait. C’est ça le cercle vertueux qui vise à améliorer de manière continue.

* Si Deming l’a popularisée au Japon vers 1950, c’est à Walter A. Shewhart qu revient la paternité de la méthode.

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les bonnes affaires : pièges de la pensée ?

Un biais cognitif est une erreur de raisonnement, un schéma de pensée faussement cohérent piloté par nos émotions.

Quand nous sommes dans l’obligation de faire rapidement face à un choix, un problème nous faisons des raccourcis cognitifs (biais) pour simplifier les choses.

Les recherches en psychologie cognitive laissent entendre que l’ordre dans lequel nous recevons les informations est très impactant quand il s’agit d’émettre ou de réévaluer un jugement.

Contrairement à ce qu’on croit souvent, ce n’est pas forcément le dernier qui a parlé qui a raison. on a en réalité une nette tendance à laisser notre jugement fixé sur la première information reçue.

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trinagle-de-berck

sortir du cercle vicieux

Si nos réactions peuvent nous sembler parfois bizarres, elles suivent la plupart du temps une ligne logique.

Entre autres, parce que, quand un événement survient, nos pensées (croyances, idées, représentations), nos comportements (actions, attitudes, conduites), et nos émotions (sentiments, sensation, affects) sont en interaction permanente, nous autoalimentons un enchaînement de réactions.

Lorsque nous comprenons ce lien, nous devenons bien plus conscient du fonctionnement, pour nous et pour les autres.

Cette prise de conscience va permettre de mettre en place des actions pour sortir d’un cercle vicieux d’enchaînement négatif, en modifiant l’un des éléments.

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Persuasion …

Voici 6 principes universels d’influence qui ont été reconnus et qui sont utilisés principalement par les publicitaires, le marketing … pour nous pousser à dire oui.

Ne nous voilons pas la face, nous sommes tous constamment soumis à ces tentatives d’influence et de persuasion. Et parfois, que ce soit conscient ou non, nous en avons recours nous-mêmes.

C’est pourquoi Cialdini a examiné la manière dont les individus sont susceptibles d’être influencés par certaines techniques.

⚠ Un mot sur l’éthique :

Parce que son livre “Influence : The Psychology of Persuasion” a été maladroitement et malheureusement traduit en “Influence et Manipulation” en français, il est important d’éclaircir un peu les choses :

◾ L’influence vise à persuader positivement en utilisant des moyens honnêtes et éthiques. Elle utilise des arguments logiques, des faits, des émotions ou des preuves sociales pour amener l’autre à adopter un certain comportement, mais lui laisse son libre arbitre, la liberté de choisir et la possibilité d’avoir le dernier mot.

◾ La manipulation en revanche implique une influence trompeuse et souvent malveillante pour obtenir un avantage personnel, sans tenir compte du bien-être ou des intérêts de l’autre. Une personne qui manipule utilise des tactiques sournoises, la désinformation ou l’exploitation des faiblesses pour obtenir ce qu’elle veut. La manipulation “force” l’autre.
Contrairement à l’influence, la manipulation est considérée comme éthiquement condamnable.

⚠ Tout réside donc dans l’éthique et l’intention. N’importe quel outil peut faire des ravages entre des mains mal intentionnées et être un bienfait entre des mains bien intentionnées.

* Robert Cialdini est chercheur et enseignant en psychologie sociale. Son livre “Influence : The Psychology of Persuasion” (Influence et Manipulation) est considéré par le magazine Fortune comme l’un des 100 ouvrages les plus intelligents de ces dernières décennies et est devenu la référence dans le domaine de la psychologie sociale et du marketing.

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le triangle vertueux : protection, permission, puissance d’agir…

Au triangle dramatique de Karpman qui illustre les jeux psychologiques de communication entre les êtres humains, on peut annexer un autre triangle : celui de la règle des 3P, considérée comme l’antidote du triangle de Karpman.

Basique de l’accompagnement des individus et des équipes, il est issu des travaux d’Eric Berne, le fondateur de l’analyse transactionnelle.
Le 3P agit sur les deux bases du triangle (protection et permission) pour accompagner la mise en action et trouver la puissance d’agir.

Comme le triangle de Karpman, il est utilisable aussi bien dans la sphère professionnelle que personnelle, comme le manque d’estime de soi.

” Qui domine les autres est fort, qui se domine est puissant ” (Lao-Tseu).

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Petit intermède bucolique

Quelques étapes pour performer sur votre projet :

Quand on commence un projet, il est bon de se poser et l’imaginer dans son ensemble.
Rêvez-le ! C’est du reste la phase du rêve dans le processus imagineering ‘de Walt Disney,

Divisez-le en étapes pour le rendre plus accessible, (la phase du réaliste)

Prenez du recul, faites un état des lieux et améliorez-le … régulièrement (phase critique)

N’oubliez pas de vous entourer des bonnes personnes, dites “ressources”

Et enfin regardez autour de vous, faites de la veille concurrentielle, entretenez votre différence.

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aligner – incarner ses valeurs

Travailler sur ses valeurs / anti-valeurs et mieux adapter ses actions :

Vos valeurs font que vous êtes qui vous êtes. Et pour comprendre ce que sont vos antivaleurs, vous devez d’abord savoir quelles sont vos valeurs.

Ces identifications peuvent facilement être utilisées comme des outils efficaces pour évaluer vos motivations, c’est pourquoi utiliser une liste de valeurs / antivaleurs comme ressource régulière améliore la quantité et la qualité de l’analyse,

Ce travail d’identification est une démarche essentielle de développement personnel et d’alignement qui vous permettra de prioriser vos actions, d’avancer plus rapidement et plus efficacement sur vos projets, de leur donner plus de sens et de vous concentrer sur l’essentiel.

Vous comprendrez aussi le concept des conflits de valeurs.

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